Par où commencer mon histoire? La santé qui passe par la nutrition a toujours été un sujet d’importance pour moi. Depuis bon nombre d’années, je lis sur le sujet, j’emprunte des livres à la bibliothèque (oui oui, ça se fait encore en 2018!!), je passe des heures sur mon téléphone ou mon ordi à chercher des informations spécifiques ou à lire des blogues sur des sujets qui traitent de l’alimentation vivante; le « cru », les minéraux tel que le magnésium qui est si nécessaire à l’être humain, mais quasi absent de notre alimentation actuelle, etc. Je ne cesse de me documenter de toutes les façons possibles. Mais est-ce une raison pourquoi je l’appliquerais concrètement dans mon quotidien? Pas toujours si facile à faire.

Mes recherches m’ont mené à croire qu’on ne mange pas ce qui est nécessaire à notre organisme. Notre corps possède un très long système digestif, qui ne se compare pas aux espèces animales carnivores (et/ou omnivores) de la planète. La viande ingurgitée a le temps de fermenter et de se putréfier avant de sortir de notre corps et prend généralement 24 heures pour y parvenir. Comment cela peut-il être bon quand on sait que le deuxième cerveau se trouve dans l’intestin. J’en profite pour vous donner la référence d’un excellent livre qui a comme sujet les fonctions incroyables que possèdent l’intestin sur notre santé ; Le charme discret de l’intestin ou en anglais, Gut: The Inside Story of Our Body’s Underrated Organ, de l’auteur Giulia Enders. Cela étant dit, je suis avide d’informations sur tout ce qui se rapporte à la santé physique, psychique et émotionnelle. Pour moi, l’équilibre entre toutes ces sphères est essentiel pour arriver à la paix intérieure.

Mes recherches m’ont mené à croire qu’on ne mange pas ce qui est nécessaire à notre organisme.

Alors, revenons à mon histoire…
J’ai décidé de commencer une cure de jus pour plusieurs raisons.

La première étape a été de rencontrer une nutritionniste holistique avec qui j’ai pu discuté des réels symptômes qui nuisent à mon énergie quotidienne par leur lourdeur. Soit-dit-en-passant, la majorité des gens ont des symptômes qui les perturbent de façon importante mais décident volontairement de les taire ou de ne pas leur accorder d’attention. De grands changements seraient nécessaires, mais ceux-ci occasionnent des prises de conscience, parfois difficiles, de la volonté en continu, de la motivation, de la persévérance et des moyens concrets et précis pour arriver à ses fins. C’est là que le chemin le plus facile est emprunté : ne rien faire pour changer sa situation. Au fond, ce n’est pas si pire, non?